Travaux réalisés par Victor Crombez à la Marlière
Il semble que Victor Crombez ait commencé des travaux avant même d’avoir signé l’acte d’achat sous seing privé de 1845 dont il est question plus haut. En effet, le 2 septembre 1843[1] on note que la démolition de la campagne de Mr Crombez Durot occupera des travailleurs durant une bonne partie de l’hiver 1843 1844 ce qui diminuera le montant de l’aide à accorder aux indigents par le bureau de bienfaisance du village (beaucoup de journaliers se trouvaient au chômage forcé en hiver et donc sans ressources).
L’architecte choisi pour la construction du nouveau château sur l’emplacement de l’ancien qui est abattu est Antoine Justin Bruyenne[2] (Tournai 1811-1896), il eut pour maîtres deux architectes éminents : Florentin Decraene et Bruno Renard. Son œuvre est immense et dans le Tournaisis on lui doit les églises de Allain, Willemeau, Obigies, Pères rédemptoristes à Tournai, Hérinnes, Templeuve, Notre Dame auxiliatrice à Tournai ainsi que les châteaux de Bourgogne à Estaimbourg, Ere, Six à Froyennes, H. Duquesnes à Vaulx, de la Quennelée à Antoing…. Victor Crombez a certainement collaboré très activement à la réalisation des plans, car Bozière dit « On nous a assuré que les plans de l’édifice émanent du propriétaire »[3]
Laissons-lui encore la parole pour décrire la nouvelle construction :
« C’est une assez jolie fantaisie ayant la forme d’un quadrilatère, dont les angles sont garnis de quatre tourelles recouvertes de toits pointus terminés par des bannières dorées. Des degrés, recouverts d’une marquise en fonte et en glaces d’un élégant dessin, donnent accès dans l’intérieur :
Cette marquise, chauffée l’hiver par un calorifère installé dans les souterrains du château, recèle des plantes rares et des oiseaux exotiques qui y voltigent en liberté. Les salons sont d’une magnificence de très bon goût ; des tapisseries de haute lisse fabriquées à Tournai et des glaces d’un tain parfait contenues dans des bordures d’or, en revêtent les parois et donnent un aspect tout princier à ce séjour délicieux »
Les différentes phases des travaux du château peuvent se retrouver en consultant les plans du cadastre. Ces plans résultent en fait de tournées effectuées par les fonctionnaires qui à cette occasion relèvent les nouvelles constructions et transformations.
Tournée de 1848
Les figures ci-dessus donnent l’état du château avant les travaux effectués par Victor Crombez à partir de 1843.(à gauche) Il est constitué de deux bâtiments, un en U et l’autre constitue sans doute les annexes et écuries. Lors du relevé de 1848 (à droite), une nouvelle bâtisse a été construite avec quatre tours d’angle et un perron. L’employé du cadastre n’a pas dessiné de pont au dessus des douves et on se demande comment on accédait au château !
Tournée de 1865
A cette occasion (figure ci-contre) on remarque une construction qui enjambe les douves, il s’agit du jardin d’hiver qui fut inauguré le 26 janvier 1853 et dont Bozière[4] a donné une description détaillée que nous reproduisons ci-dessous :
« L’inauguration de cette merveille, sans précédent, se fit le 26 janvier 1853, par un bal de nuit où figura l’élite de la société tournaisienne et des étrangers de distinction venus de Paris, de Lille et d’autres localités.La richesse des tentures rayées de jaune et rouge, élégamment disposées en plis gracieux sur les murs en glaces ; l’éclat des lustres projetant leur lumière sur des charmants massifs de végétaux des tropiques, parmi lesquels on distinguait plus spécialement des Chamarops, des Astrapea, des Musa, des Strelitzia groupés avec des Azalées et des Camelia fleuris ; à ces feuillages, à ces longues palmes s’accrochaient des Passiflores grimpantes, de Hippomées en guirlande, et du milieu de ces buissons ravissants s’élançaient des gerbes d’une eau limpide, que l’air séparait en globules, se teignant par la réflexion des feux des bougies, en couleurs variées, qui les faisaient ressembler à des cascades de perles et de pierres précieuses…et la beauté, et la fraîcheur, et la délicatesse des parures féminines se détachant sur la verdure des végétaux ; tout devait concourir à faire de cette fête un enchantement, une féerie sans égale. Les jardins nouvellement plantés ne sont pas encore bien remarquables, mais ce qui l’est véritablement ce sont les serres vastes et bien fournies de tout ce que l’horticulture offre de plus précieux et de plus récent à nos riches amateurs. Ces serres sont entretenues avec un soin qui dénote, de la part du maître, un goût très prononcé pour l’élégant délassement que donne la culture des fleurs. Dans aucune propriété des environs de Tournai cette culture n’a atteint la perfection qui distingue les établissements du château de la Marlière. Là tout est beau, tout est élégant, tout est grand ; aussi les soins ne manquent pas plus que les sacrifices qu’il faut faire pour rassembler et entretenir ces trésors du règne végétal, pour lesquels les cinq parties du monde sont mises à contribution.Tout l’ensemble du « castel féodal », si capricieux de forme, qu’on ne peut assigner d’époque pour ce qui regarde l’imitation, est d’un aspect agréable vu de la grande chaussée de Lille. Il est encadré dans des bouquets d’arbres trop jeunes encore pour faire valoir l’édifice. Dans le lointain se dessinent les vastes pentes du Mont-Saint-Aubert. »
La figure ci-dessus[5] qui représente le château sans doute au début du XXè siècle, montre très bien la façade arrière du château avec le jardin d’hiver enjambant les douves.
Tournée de 1878
Victor Crombez excellait dans l’art de la création des jardins et il établissait même des plans pour d’autres par exemple celui des jardins de la propriété de sa sœur Henriette De Clercq Crombez à Oignies en France. S’inspirant sans doute du style des jardins anglais forts en vogue à l’époque il a adouci les perspectives en arrondissant les angles des douves et en jetant deux ponts supplémentaires au dessus. De même, il a construit deux tours d’allure médiévale qui gardent un des nouveaux ponts (photo ci -dessous). Une de ces tours subsiste encore de nos jours. A l’étage de cette tour un petit monument funéraire est inséré dans le manteau de la cheminée. L’épitaphe partiellement illisible permet de dire qu’il s’agit du monument funéraire des époux Ernoul Vandenbroucq et Agnès Derbaudringhien. Il représente le Christ en croix supporté par Dieu le Père, les trépassés et leurs saints patrons. Par son testament daté du 3 septembre 1438[6] Ernoul Vandenbroucq souhaitait faire ériger après son décès un « tabiel » pour lui et sa seconde épouse Agnès Derbaudringhien au cloître des Frères Augustins[7]. Comment et pourquoi ce « tabiel » fortement endommagé, sans doute par les iconoclastes, s’est retrouvé à cet endroit reste une énigme.
La tour ronde qu’on voit en bas à gauche sur le plan (plan ci-dessus) est une imitation de ruine ancienne dont Victor Crombez était très friand. Actuellement on peut encore voir à droite du château toute une muraille de type médiéval qui a été construite à la même époque.
Tournée de 1883
Ce dernier état montre la construction d’une tour supplémentaire juste à côté du château, à gauche, et donne aussi le détail du plan de cette tour.
Une petite gravure[8] (Figure ci-dessus) non signée de 6cm sur 5 environ, postérieure à la construction de cette tour a été réalisée par l’artiste douaisien Alfred Robaut. L’intérêt de cet artiste pour la Marlière peut s’expliquer de la façon suivante : Armand d’Herbomez le fils de sa sœur, archiviste de la ville de Tournai et important historien local dont la réputation dépassait les frontières du Tournaisis a habité à la Marlière ainsi qu’il en ressort de deux listes de 1888 et 1893 de soucripteurs à la bibliothèque de l’école des chartes dont il était un ancien élève. On y lit: « Herbomez (Armand d’) au château d’Orcq par Tournay (Belgique). Au bas d’une des deux épreuves de la gravure que nous avons pu voir il était indiqué à la main : « A la demande de d’Herbomez Robaut (Alfred Robaut) » On peut dès lors supposer que les parents d’Armand d’Herbomez on commandé cette gravure à leur frère et beau frère Alfred Robaut. La famille d’Herbomez habitait sans doute un des immeubles situés dans la propriété
La photo ci-dessus représente le château en 1907[9] à l’occasion d’une fête organisée pour les villageois après le mariage de Raymond Crombez Rémond de Montmort. La tour décrite dans la tournée de 1883 se trouve à gauche entourée de lierre.
Enfin, il nous a paru intéressant de noter que l’étang présent au nord de la propriété le long du Rieu et récemment remis sous eau n’a pas une origine naturelle et a en fait été creusé sur les ordres de Victor Crombez vers 1870. Un plan de la tournée des agents du cadastre en 1870 le prouve.
Eléments de la biographie de Victor Crombez :
Victor Crombez n’a pas eu une vie publique importante, il fut membre du conseil communal de Tournai du 23 décembre 1843 au 6 septembre 1845[10] date de sa démission. Lors des élections communales d’Orcq du 22 août 1848 Victor Crombez est élu et il deviendra conseiller communal le 24 novembre 1848[11]. Suite au résultat de ces élections, il est nommé bourgmestre par Léopold I, mais il refusera d’assumer cette tâche sans que nous en connaissions la raison. Ses activités économiques l’ont mené à gérer ses biens de façon plutôt adroite si l’on sait que lors de son décès en 1898 il a laissé un héritage de 8 millions de francs or, fortune considérable. Un peu avant 1870 il construit un hôtel particulier au 129 Boulevard Haussmann qu’il occupera durant ses séjours à Paris. A ces occasions il se rendait quotidiennement à la Bourse pour suivre ses valeurs. Il possédait des charbonnages à Dourges et en copropriété avec son cousin De Clercq à Carvin et Oignies. Il était passionné de jardins et de plantes et aussi de philosophie. Comme sa sœur Henriette et ses frères Benjamin et Louis il s’est beaucoup préoccupé du sort de moins nantis, il suffit pour preuve de lire son éloge funèbre paru dans le « Courrier de l’Escaut » suite à son décès le 11 mai 1898 à la Marlière :
« Il savait intervenir d’une façon efficace au profit des malheureux et des travailleurs : les travailleurs de la terre, les ouvriers agricoles -ces déshérités de la terre comme il les appelait- étaient surtout l’objet de ses préoccupations et de ses générosités : il s’ingénia à leur venir en aide. C’est à leur intention qu’il participa au mouvement protectionniste en créant la Ligue agricole dont il fut le président, qu’il établit dans de nombreuses communes des sociétés de secours mutuels (note : dont la société mutuelle « Les ouvriers réunis » à Orcq), qu’il fonda des asiles pour l’enfance et qu’il consacra à différentes œuvres des sommes considérables. »
Victor Crombez eut deux enfants :
Une fille Marie Antoinette qui épousa à Orcq le 22 juin 1863 Augustin René Clérel de Tocqueville, il était le neveu de l’historien et homme d’état français Alexandre de Tocqueville. Elle mourut sans postérité à Menton le 8 février 1872 des suites d’une maladie pulmonaire contractée sur le front franco-allemand alors qu’elle soignait des victimes de la guerre. Pour honorer sa mémoire une statue de marbre la représentant (photo ci dessous)a été placée dans le parc de la Marlière et a été déplacée ensuite au château de Montmort.
Un fils, Victor Auguste, qui suit
Auguste Crombez
Victor Auguste était appelé Auguste pour le distinguer de son père, il devint le propriétaire de la Marlière après le décès de son père. Le 21 mai 1874 il épouse à Paris Geneviève Rémond de Montmort, fille du dernier Marquis de Montmort. La famille des Rémond de Montmort s’éteignant par les mâles, l’adjonction du nom de l’épouse à celui des Crombez a été autorisée par Arrêté Royal du 2 mai 1910.
De ce mariage est issue la branche actuelle des Crombez Rémond de Montmort. Auguste Crombez a été également conseiller communal à Orcq où il est décédé le 3 10 1911.
La photo ci-dessus le représente à gauche avec son épouse et leur fille cadette Suzanne. Dans le partage des biens, c’est la fille aînée d’Auguste Crombez qui hérita de la Marlière : Marie Madeleine qui avait épousé Ferdinand François Costa de Saint Genix de Beauregard.
Trois ans plus tard la guerre 14 18 éclatait et la Marlière était réquisitionnée par l’armée allemande. La suite est décrite dans les mémoires non publiés d’Henri, un des fils des derniers propriétaires :
« Nous fûmes totalement coupés de la Belgique jusqu’en fin 1918 et ce fut alors pour retrouver un château entièrement détruit, un parc saccagé par les bombardements, creusé de tranchées et d’abris en ciment… un grand avion allemand plongeait encore dans l’étang ! Tout à fait à la fin de la guerre, en octobre 1918, l’ennemi avait fait un instant front sur l’Escaut.
Pensant que le château serait occupé par un état-major comme il l’avait été jusque-là, des bombes à retardement très puissantes avaient été posées dans les caves, et après leur explosion il ne resta pratiquement que les murs extérieurs, eux-mêmes lézardés comme par un tremblement de terre.
Tout le mobilier avait disparu au cours des années de l’occupation allemande: ce qui fut sauvé le fut par les religieuses du village qui, très dévouées à la famille, se glissaient dans la maison entre deux groupes d’occupants pour ramener ce qu’elles pouvaient. Pratiquement, le seul bon objet subsistant est le reliquaire Louis XV dont j’ai déjà parlé. Il surnagea aussi, par quel hasard, quelques épaves: la commode Louis XVI de la chambre de ma grand-mère, percée d’éclats d’obus, des gravures de genre amusantes Napoléon III et le tapis du vestibule retrouvé dans les décombres, roulé là où les domestiques l’avaient rangé en 1914… Devant ce désastre, mes parents qui avaient construit « Le Pavillon » en 1908 et hérité de Beauregard en 1916, ne voulurent pas, avec raison, se charger d’une troisième propriété, que de surcroît il aurait fallu reconstruire et d’autant que les temps avaient changé, que les difficultés de service commençaient et que l’impôt sur le revenu faisait ses débuts. On mit donc Orcq en vente, mais uniquement le château et le parc avec le droit aux dommages de guerre: un riche brasseur, M. Horlait, l’acheta en1920. »
9.4. Gaston Horlait
Il devient donc le propriétaire de la Marlière en 1920. Il est né le 18 juin 1875 à Ligne. Engagé comme volontaire lors de la guerre 14 18 il est versé dans le corps des transports de la 5ème division armée en qualité d’officier auxiliaire. Le premier mai 1916 il devient chef de la section cinématographique de l’armée. Il est cité à l’ordre du jour de l’armée « Pour le courage et le dévouement dont il a fait preuve lors de sa longue présence au front ». [12]Il était un homme d’affaires bien connu à Tournai où il était administrateur délégué des brasseries du Lion et président du club de football l’Union de Tournai dont le stade portait son nom. (voir photo ci dessous): les porte-drapeaux des sections de supporters de l’Union de Tournai à la Marlière)
Mais il était également administrateur de plusieurs autres entreprises actives dans des secteurs différents tels la finance, le charbon, la pierre, la chimie, l’industrie alimentaire…
Il était franc-maçon et fut initié en 1902 à la loge tournaisienne du Grand Orient[13]. Cette appartenance a fait qu’il a choisi un frère de loge, Paul Bonduelle, pour établir les plans de la grande demeure qui allait remplacer les ruines du château des Crombez. Ce Tournaisien de naissance (Tournai 1877 – Bruxelles 1955) fut responsable du plan communal d’aménagement de Tournai après la guerre 40-45 et architecte en chef de l’exposition Universelle et Internationale de Bruxelles en 1958. Son décès en 1955 ne lui permit cependant pas de mener à terme ce dernier projet. Le « château Horlait », car, c’est comme cela qu’on le désigne à Orcq, est en fait une très imposante et majestueuse demeure construite en pierres. On peut y reconnaître des éléments de la symbolique maçonnique comme les deux colonnes de la façade est surmontées de chapiteaux présentant chacun deux têtes d’aigles et deux têtes de faucons, ces dernières étant des représentations du dieu égyptien Horus.
Durant la guerre 40-45 Gaston Horlait contribue activement à résister à l’ennemi. Voici un témoignage de sa petite fille Mireille T’Sas :
« Au début de la guerre 40/45 mon grand-père gérait une tannerie à Tournai. Afin de ne pas envoyer les cuirs pour fabriquer les chaussures des Allemands, il a déménagé, une nuit, toutes les machines de la tannerie à la Marlière et les a emmurées dans une grange jusqu’à la fin de la guerre. A ce moment, il a fait revenir les machines à Tournai et a fabriqué des cuirs pour les chaussures de l’armée américaine !! Il a aussi employé des ouvriers pour creuser une piscine dans la propriété et la reboucher ensuite, quand il n’y avait pas de risques d’être découverts. Ce cycle alternatif a duré longtemps. Les Allemands n’y ont rien vu et ainsi les ouvriers n’ont pas été envoyés en Allemagne dans des camps de travail.»
La famille Horlait a du quitter deux fois la propriété pour faire place à des officiers allemands.[14] Selon un document établi à la prison de Saint Gilles le 27 mai 1943, Gaston Horlait y était à ce moment pensionnaire à cause de son appartenance à la franc-maçonnerie.[15]
Il est décédé le 20 avril 1948 au Zoute (Knokke).
Jean Horlait[16] :
Après le décès de son père Gaston, il est devenu le propriétaire de la Marlière.
Né à Orcq le 2 avril 1911. Docteur en Droit de l’Université de Bruxelles et Officier de Réserve de l’Armée belge, il entra très tôt dans la vie professionnelle aux côtés de son père.
Il assura la gestion de diverses entreprises appartenant à des secteurs industriels représentatifs de la vie économique du Tournaisis dans laquelle il s’impliqua activement notamment au travers de sa Chambre de Commerce. Pendant plus de 25 ans, il fut Membre du Comité d’Administration de la Société Générale de Banque à Tournai et Juge au Tribunal de Commerce de Tournai. Il exerça également divers mandats d’administrateur de sociétés opérant en Belgique, principalement dans le Hainaut et en région bruxelloise.
Toute sa vie durant, il vécut dans le domaine de La Marlière. Il épousa Antoinette Losseau.
Il est décédé à la Marlière le 22 mai 1993. Antoinette Losseau est décédée le 24 mars 1997.
Thierry Letartre
Les enfants de Jean Horlait, Philippe, Catherine et Patrick cédèrent la Marlière à Thierry et Servane Letartre, industriels français, en 1998. Ces derniers ont entièrement restauré le château construit par Gaston Horlait sans pratiquement en altérer l’aspect extérieur.
Sans la contribution des personnes dont les noms suivent cet article n’aurait pu être mené à bien et je tiens à les remercier : par ordre alphabétique
Pol Baudru, Mireille Beernaerts T’Sas, Thérèse Blaton, Xavier Crombez Rémond de Montmort, Daniel Delécaut, Patrice Delobelle, Bernard Desmaele, Patrick Horlait, Danielle Larivière, Servane et Thierry Letartre, Florian Mariage, Gilbert Monvoisin, Daniel Motte, Jacques Pycke, Francis Taquet, Alain Tripnaux, Régine Vergnes.
[1] ARCHIVES COMMUNALES DE TOURNAI, Rapports du conseil échevinal d’Orcq en 1843, Dépôt d’archives de Templeuve.
[2] G. LEFEBVRE, Biographies tournaisiennes des XIXe et XXe siècles, Archéologie industrielle de Tournai, 1990, p 31.
[3] F. J. BOZIÈRE, Souvenirs et légendes de l’ancien Tournaisis, dans, La Feuille de Tournai, 1853-1857.
[4] F. J. BOZIÈRE, Souvenirs et légendes de l’ancien Tournaisis, dans, La Feuille de Tournai, 1853-1857.
[5] Photo offerte par F. Taquet originaire d’Orcq à l’ASBL LIGNE 4.
[6] A. DE LA GRANGE, Choix de testaments tournaisiens antérieurs au XVIe siècle, dans, Annales de la société historique et archéologique de Tournai. Nouvelle série tome 2, 1897, p. 227 testament 799.
[7] Au coin des rues Frinoise et des Augustins à Tournai.
[8] Collection Famille Horlait en remerciant Patrick Horlait.
[9] Photo transmise aimablement par Xaxier Crombez Rémond de Montmort, descendant de Victor Crombez, ainsi que celles des figures 21 et 22.
[10] H. VANDENBROECK, La magistrature tournaisienne (1179-1871), dans, Mémoires de la Société historique et littéraire de Tournait, Tome 10,Malo et Levasseur, Tournai, 1871.
[11] ARCHIVES COMMUNALES DE TOURNAI, Rapports du conseil communal d’Orcq en 1843 1845, Dépôt d’archives de Templeuve.
[12] B. DEMAIRE, La guerre 14-18 dans les villages de Lamain, Marquain et Orcq, dans, Ligne 4, N° 2, novembre 2008 p. 36.
[13] J. PRAGMAN (pseudonyme), Visages de la franc-maçonnerie à Tournai, Collection Hiram, Bruxelles 2006
[14] Information orale de Thérèse Blaton, petite fille de Gaston Horlait.
[15] Une copie de ce document m’a été transmise par Thérèse Blaton
[16] P. HORLAIT, Correspondance privée, 2011